Bonjour
à tout le monde!
Aujourd'hui
je veux faire la critique de un célèbre roman français: Madame
Bovary de Gustave Flaubert.
Je
suis loin d'aimer ce livre, mais allons par ordre!
La
trame.
Charles
Bovary est un médecin de campagne qui a marié une vieille veuve -
théoriquement riche – parce que sa mère voulait comme ça. La
veuve décède tôt et Charles découvre qu'elle n'était pas riche.
Entre
temps, Charles a rencontré Emma Roualt, une jeune fille d'un riche
paysan, ou quelque chose semblable. Comme la veuve est décédée,
Charles fait la proposition de mariage à Emma.
Elle,
pensant qu'il est l'homme qu'elle a rêvé lisent les romans du
temps, accepte.
Mais
elle découvre tôt qu'elle n'est pas faite pour le mariage: elle
rêve un amour passionnel, pas un tranquille amour matrimonial.
Elle
prouve un terrible désagrément à tel point qu'elle tombe malade.
Charles,
alors, au nome de son amour pour elle, decide d'abandonner sa
carrière en cette ville et d'aller en une autre petite ville,
Yonville l'Abbaye, pour la santé d'Emma.
Ici,
Emma rencontre Léon, un fascinant garçon.
Entre
le deux, il y a un platonique amour qui dure jusqu'à ce que Léon
parte de la ville parce qu'il aime trop Emma pour accepter seulement
un amour platonique mais il ne veut pas ruiner ce mariage.
Parti
Léon, arrive Rodolphe.
Il
est un homme méprisable et, quand il rencontre Emma pour la première
fois, il décide qu'elle deviendra sienne.
Commencent
ainsi ses tentatives pour la séduire et il réussit dans
l'entreprise assez facilement vu qu'il est tout ce qu'elle avait
jamais désiré: fascinant, beau, "poli", assez aisé,
bêcheur, sûr et, surtout, il n'est pas son mari.
La
griserie d'un amour adultère la domine et tôt elle s'adonne à cet
homme odieux.
Flaubert s'amuse, donc, à nous raconter des plusieurs stratagèmes des deux pour n'être pas découverts, du désir de fuite d'Emma, de leur rupture, du retour de Léon, de sa "corruption" de la parte d'Emma et cetera et cetera jusqu'à arriver à une drastique décision d'Emma - jointe ensuite à la prise de conscience des beaucoup des foutoirs causés - et de la triste fin du bon Charles.
Flaubert s'amuse, donc, à nous raconter des plusieurs stratagèmes des deux pour n'être pas découverts, du désir de fuite d'Emma, de leur rupture, du retour de Léon, de sa "corruption" de la parte d'Emma et cetera et cetera jusqu'à arriver à une drastique décision d'Emma - jointe ensuite à la prise de conscience des beaucoup des foutoirs causés - et de la triste fin du bon Charles.
Je
ne veux pas s'étendre plus longtemps sur la trame.
Parlons
des personnages.
Emma.
Emma est un enfant. Une petite fille gâtée avec le corps de
une femme.
Au
lieu d'être heureuse pour la sérénité que le mariage porte à elle,
elle cherche la griserie du risque coûte que coûte; au lieu de
s'essayer à aimer un homme qui l'adore et qui se comporte en façon
adorable avec elle, elle désire trahir lui pour avoir hommes qui traitent
la mal; au lieu de prendre la responsabilité pour ses actions, elle
fuit; au lieu d'aider qui l'aime, qui est près d'elle, elle détruit
inexorablement sa vie; au lieu de s'occuper de la fille - oui, elle a
une fille. Pauvre petite -, elle se comporte comme s'elle était
ça.
Au
lieu de combattre sa ennui, elle ennuie nous tous.
Je
ne dirai pas autre.
Charles
est un homme bon. Il est dénigré continuellement par la critique et les lecteurs parce que présentés comme un naïf. Effectivement, il
est ça à plusieurs égards, mais entre sa naïve absolue bonté,
son inconditionnel amour et ennuyée intolérance et stupidité
d'Emma devinez qu'est-ce que je choisis?
Homais,
le pharmacien Homais est l'apothéose de la stupidité - et il est
aussi une stupidité satisfaite. Bah.
Léon...
Initialement, il plaît à moi. Un garçon honnête, qui veut
réaliser ses rêves. Mais après... Après il n'a pas réussi à
résister au charme de la destructrice de vies. Et, patatrac, lui
aussi ce personnage part en fumée.
Mieux
que je ne continue pas.
De plus, il écrit avec un style ennuyeux et terriblement trop descriptif.
Le
point est que Flaubert semble vouloir montrer coûte que coûte qu'il
n'y a pas espoir. Que le bon est un stupide et le "mauvais"
un ennuyé irrécupérable.
Je
ne sais pas.
C'est
le genre de livre que, quand on le finit, on le jetterait volontiers
entre les flammes de un cheminée.
Cela
dit, je n'ai pas autre d'ajouter sauf qu'on devrait arrêter
d'obliger nous, pauvres lycéens, à lire quelque chose comme ça.
Existent auteurs français plus bons - et je ne me réfère pas à
Zola, autre condamnable à la damnatio memoriae -, faites nous lire
ces!
Plutôt,
si vous avez aimé ce livre, s'il vous plaît, commentez avec votre
opinion, parce que je ne peux pas comprendre comme il peut plaisir.
Désolé
pour mon habituel être brouillon,
votre
Pirandello
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